La soupe à rien du tout

Tasse à la main, dans un brouillard cotonneux, au tout petit matin tout aussi cotonneux (quoi,déjà l'automne?), après une trop courte nuit (je me répète ? je déteste les dents qui poussent !), je me balade de blog en blog, histoire de garder les yeux ouverts, pendant que d'autre (suivez mon regard) trie des pâtes.
Et je tombe sur une recette dont je ferais bien mon quatre-heures, avec une illustration en plein écho à ma  dernière frustration du moment.
Pourquoi frustrée ? Parce que lors de ma dernière visite (vendredi) à l'Emmaüs du bout de ma rue, je suis tombée en arrêt sur une kitchenette, certes très moderne, presque masculine, dernier cri de vert-baudet ou comparse, à 20 euros. Mais j'ai beau chercher, je ne vois pas où la caser. Enfin, si, j'ai une petite idée, mais l'Homme dans sa fougue "épurons pour la rentrée" oppose à mon enthousiasme puéril une kyrielle d'arguments d'adulte responsable... Pffff.
Si seulement j'avais pu trouver sa petite cuisinière, celle du message du 23 juillet, celle qui accompagne La soupe à rien du tout ...