mOins 15
On approche dangereusement des degrés hivernaux de notre année, hé hé. mOins quinZe, donc.
95 en mOins 15.
Ahaaaa... bien qu'elle ne l'aime pas (c'est bien la première faute de goût que je lui découvre. Et pas la dernière, j'espère, hé hé) (et que moi je lui préfère la version chantée par mon iguane préféré), j'ai bien aimé l'entendre souvent ce refrain là !
C'est aussi l'année de la déferlante de la BO de Pulp Fiction (sorti en octobre de l'année précédente).
Vous vous souvenez ? Giiiiirl, tada-dadam, you'll be a womaaaaan soooooon, soooo-oooon !
Bien que je saute de ma chaise pour me tortiller comme il se doit dès les premières notes, celle que j'écoutais en boucle moi, et toujours depuis, c'est cette vieillerie-là.
Et puis 95, c'est aussi l'année de tous les comas (que j'offre à Aymeric- et ses comas jamaïcains-, qui n'aura jamais connu la fin de l'année. Putain de voiture !)
L'année 95 était english, pas la moindre petite frenchy friandise à se mettre sous la dent "revival". Désolée. Mais vous z'en avez trois pour le prix de deux.